Ecrit le 4 juillet 2009
Etendu sur ton lit, un sonnet tu composes
Pour ta muse enchantée qui anime ta lyre
La douce mélodie s'écrit dans un sourire
Puisque de ta plume je caresse la prose
J'avance vers toi mais te distraire je n'ose
Immatérielle, je te contemple, t'admire
Tu me regardes sans me voir et tu soupires
Tu perçois mon aura car nos âmes symbiosent
Intrigué, tes yeux me cherchent, tu me pressens,
Imperceptible aux sens mais ton coeur me ressent
Nos souffles se mêlent, se frôlent nos visages
Nos lèvres s'appellent, s'effleurent, s'enflamment
Sous la fougue de ton baiser je deviens femme
Et je m'éveille, était-ce un divin présage?
Pour mon poète grâce à qui je fais de délicieux rêves
Etendu sur ton lit, un sonnet tu composes
Pour ta muse enchantée qui anime ta lyre
La douce mélodie s'écrit dans un sourire
Puisque de ta plume je caresse la prose
J'avance vers toi mais te distraire je n'ose
Immatérielle, je te contemple, t'admire
Tu me regardes sans me voir et tu soupires
Tu perçois mon aura car nos âmes symbiosent
Intrigué, tes yeux me cherchent, tu me pressens,
Imperceptible aux sens mais ton coeur me ressent
Nos souffles se mêlent, se frôlent nos visages
Nos lèvres s'appellent, s'effleurent, s'enflamment
Sous la fougue de ton baiser je deviens femme
Et je m'éveille, était-ce un divin présage?
Pour mon poète grâce à qui je fais de délicieux rêves